La Comtesse, sa maîtresse, apparaît subrepticement, délicatement, en la soprano italienne Veronica Granatiero : « O mi rendi il mio tesoro, O mi lasci almen morir ». Elle fait briller son timbre translucide par la mélancolie depuis la porte entrebâillée contre laquelle elle se retient, dans un rai interstitiel de lumière. Le timbre est chargé d’émotion, rendant palpable le drame de l’abandon et de l’humiliation. Les aigus sont lumineux, avec ce que la lumière peut avoir de pénétrant. Les reprises pianissimi dans l’aigu sont creusées dans le silence intérieur de l’artiste.

(www.olyrix.com)

 

Le succès de ce spectacle réside dans la mise en scène, mais aussi à la qualité de ses interprètes. Veronica Granatiero est une Comtesse de toucher.

(www.francenetinfos.com)

 

Une distribution jeune , dynamique et homogène dans laquelle les chanteurs ont l’âge de leur rôle donne encore plus de crédibilité à la poésie du livret de Da Ponte et à la vérité des sentiments. Veronica Granatiero campe une Comtesse vocalement idéale (…)

Philippe Depetris

 

De haute tenue, la distribution vocale est dominée par les rôles féminins. Veronica Granatiero est une comtesse altière.

(www.artcotedazur.fr)

Press